Le nom d’Eric Serra résonne mondialement comme compositeur des plus grandes musiques de film (Subway, Le Grand Bleu, Leon, James Bond Goldeneye, Le Cinquième Elément, Arthur & les Minimoys, Lucy …). Mais le retour à la scène pousse comme un cri du coeur.

Accompagné des meilleurs musiciens de jazz français, il monte le RXRA Group, reprenant ses plus grands titres, revisité dans un jazz/fusion à couper le souffle.

C’est dorénavant là qu’il a envie d’être : sur une scène avec ses copains, devant son public, pour des moments de partage en live.

Créé par l’équipe de Black Boy, Construire un feu est une nouvelle puissante et métaphysique, synthétique et proche de l’abstraction. C’est un champ existentiel, une allégorie éloquente du combat que l’homme a engagé contre la nature, contre sa propre nature, son instinct.

Le dispositif reste le même que sur Black Boy, mais chacun des postes explore de nouvelles modalités. On bascule du noir au blanc. D’un extrême à l’autre. De la pression sociale à une pression barométrique. L’homme que nous suivons passe son premier hiver dans le grand nord, une aventure qu’a traversée Jack London, se mêlant aux pionniers de la fameuse Goldrush jusqu’à posséder sa propre concession.

Il s’agit encore là d’un récit de construction, d’apprentissage, celui de l’écriture et de l’existence.

Après l’album « Icare » sorti en 2021 et une tournée triomphale qui aura duré près de 2 ans, Emily Loizeau sera de retour à l’automne 2024 avec « La Souterraine ». 

Ce nouveau disque, prolongement naturel du précédent, a également été enregistré au Pays de Galles, sous la houlette du fameux réalisateur John Parish (PJ Harvey, Aldous Harding, Dominique A…) et avec ses musiciens de scène. 

Les concerts à venir permettront de creuser le sillon d’un virage vers des titres électriques, portés par l’interprétation intense et puissante d’Emily Loizeau, qui nous amèneront à nous questionner sur notre société ébranlée par les dérèglements climatiques, impactée par les crises économiques et sanitaires. Des thématiques cette fois baignées d’espoir éperdu et déterminé, car l’autrice-compositrice nous appelle à ne pas abandonner la lumière, pour regarder dans les yeux et vaincre la noirceur, et nous soulever ensemble pour rendre ce monde meilleur.

En accord avec Caramba.

« KLNX » est l’hymne de la jeunesse queer, celle qui danse pour contrer un monde qui s’effondre, celle qui répond à la haine par l’amour.

Akira & le Sabbat échappe à toute définition de genres. Un tourbillon queer mêlant rap, rock, techno, electro avec des textes qui claquent comme des pavés ! Les six membres de ce collectif hors norme abordent leur vingtaine les poings serrés, et transforment leur rage en un besoin frénétique de danse, de transe.

Akira & le Sabbat donne rendez-vous à cette jeunesse, dont iels font partie, queer jusqu’au bout des ongles, terriblement sexy, complexe et décomplexée, sensible et explosive.  Il suffit d’assister à un de leur concert pour s’en rendre compte : un phénomène est en train de naître.

Il est de ces concerts qui restent ancrés dans nos mémoires. Ces concerts dont on sent longtemps avant qu’ils seront à part, littéralement extra-ordinaires. Le concert de Thibault Cauvin au Théâtre du Châtelet le 8 mars dernier en fait partie.

Après ce magnifique sold-out, Thibault ponctuera sa tournée internationale de quelques dates au Studio du Théâtre des Champs-Elysées : tous les mardis du mois de décembre et de janvier !

L’occasion de revivre ce moment dans un cadre plus intimiste mais tout aussi merveilleux.

Largement acclamé pour sa passion et sa créativité, Thibault Cauvin n’a cessé de gagner des prix et, à 20 ans, il avait remporté 36 prix au total (dont 13 premiers prix) – plus que n’importe quel guitariste.

Pour célébrer les dix années de la création du duo Birds On A Wire, Dom La Nena & Rosemary Standley ont créé Le Chant des Oiseaux, dont les deux premières représentations ont pris place au Festival de Saint Denis ainsi qu’aux Nuits de Fourvière.

Accompagnées pour chaque représentation d’un choeur ou d’une Maîtrise et guidées par les arrangements de Mike Smith (Gorillaz), elles revisiteront leur répertoire existant tout en ajoutant de nouvelles reprises – marque de fabrique des deux complices.

Le 30 septembre, c’est avec la prestigieuse Maîtrise de Radio France que le duo se produira à la Philharmonie de Paris, et c’est déjà complet !

Cette année exceptionnelle sera également ponctuée de deux autres créations avec l’Orchestre National de Bretagne ainsi qu’avec l’Orchestre National des Pays de la Loire.

Forts de leur solide réputation et après 6 ans de tournée, l’heure était venue pour l’équipe qui a conquis toute la France avec Black Boy de créer un nouveau spectacle, issu d’un autre chef-d’oeuvre de la littérature américaine : Construire un Feu, de Jack London.

Construire un feu est une nouvelle puissante et métaphysique, synthétique et proche de l’abstraction.
C’est un champ existentiel, une allégorie éloquente du combat que l’homme a engagé contre la nature, contre sa propre nature, son instinct.

Pour cette nouvelle création, le dispositif reste le même, mais chacun des postes explore de nouvelles modalités. On bascule du noir au blanc. D’un extrême à l’autre. De la pression sociale à une pression barométrique.

Voici les premières dates :

14/10/23 Le May sur Evre – Espace Senghor
19/10/23 Sevran – Salle des Fêtes
Date TBA Paris – Maison de la Poésie
15/12/23 Béziers – Scènes de Bayssan
16/12/23 Béziers – Scènes de Bayssan
19/01/24 Liffré – Saison culturelle
08/02/24 La Roche sur Yon – Les Mots Dièses
15/02/24 Vallet – Le Champilambart
16/02/24 Saint Jean de la Ruelle – L’Unisson
01/03/24 Argenteuil – La Cave
05/04/24 Merville – CC Robert Hossein
29/06/24 Laruns – Espace 2015

C’est dans le magnifique écrin du Théâtre des Bouffes du Nord qu’Emily Loizeau a choisi de clore sa tournée « Icare », après une soixantaine de dates.

Envoutée et envoutante, Emily nous a donné un concert qui restera dans les annales. Une énergie débordante, une émotion palpable, un instant magique, hors du temps… et deux invités de marque : John Parish, qui a produit son disque, et l’inégalable Dominique A.

Vivement la suite !

Après une semaine magnifique aux Chantiers des Francofolies, Poppy Fusée joue ce samedi 22 avril, au Printemps de Bourges dans un Théâtre Jacques Coeur déjà complet depuis plusieurs semaines.

Vous l’avez ratée ? Pas de panique, voici la tournée en cours :

03.05.2023 – La Lune des Pirates : Spectacle Jeunesse (Amiens – 80)
04.05.2023 – La Lune des Pirates (Amiens – 80)
25.05.2023 – Centre des Arts (Enghien-les-Bains – 95)
17.06.2023 – La Ferme Marine des Aresquiers (Vis-la-Gardiole – 34)
22-23-24-25.06.2023 – Festival Les Nuits Rebelles – Le Moulin Jura (Brainans – 39)
27.06.2023 – Festival Sœurs Jumelles (Rochefort – 17)
09.07.2023 – La Biscuiterie (Château-Thierry – 02)
27.07.2023 – Festival La Bamboche (Olivet – 45)
23.09.2023 – Centre Culturel d’Alb’Oru (Bastia – 20)
03.10.2023 – Festival de Marne (Chevilly Larue – 94)

…and many more to come !

Lonny attaque la dernière ligne droite de sa tournée de plus de 80 dates, et, comme pour nous ravir, nous offre deux titres inédits.

Habituellement joués en live, les deux titres n’apparaissaient pas sur l’album : « J’ai fait le choix de ne pas les mettre sur le disque, car elles semblaient un peu décalées dans leur caractère. Alors j’ai eu l’idée de vous les partager au sein d’un petit écrin qui s’appelle “Autour d’Ex-Voto”, et qui se dessinera dans les mois à venir. C’est une joyeuse manière pour moi de prolonger l’histoire. »

A écouter sans modération ICI.

La grande fête continue ! Et c’est à Arles, le 14 juillet prochain, que se tiendra le troisième concert de ce qui constitue l’une des plus belles réunions d’artistes.
Camille, Sandra Nkaké, Malik Djoudi, La Chica accompagneront ce trio de marimbas complètement fou et se réapproprieront des tubes de Rosalia, Rihanna, ou encore Pharell Williams.

Après leurs 30 dates à la Cigale complètes en décembre dernier, Stomp revient avec une magnifique tournée d’automne 2023 !

Avant cela, c’est un mois à Bobino, suivi d’un mois à la Cigale. Aucune excuse pour passer à côté de ce show toujours aussi mythique !

Il est de ces concerts qui restent ancrés dans nos mémoires. Ces concerts dont on sent longtemps avant qu’ils seront à part, littéralement extra-ordinaires.

Le concert de Thibault Cauvin au Théâtre du Châtelet le 8 mars dernier en fait partie. En secret, Thibault nous a concoctés des surprises pour rendre ces 2 heures de shows inoubliables. Pour que tous ceux qui le connaissaient déjà soient transportés ailleurs. Pour que tous ceux qui le découvraient soient subjugués.

Un titre enregistré sur place en direct, un duo avec une star du rock, une apparition magique d’une grande trompettiste, un happening avec une danseuse virevoltante, ce sont autant de surprises que Thibault nous a offertes ce jour là.

Réunis à partir de 2017 autour de Black Boy, roman autobiographique de Richard Wright transposé dans une forme théâtrale originale mêlant lecture, musique et dessin en direct, l’équipe décide de mettre en place un nouveau projet.

Après plus de 250 représentations (Théâtre de la Criée, Musée du Quai Branly, Festival Jazz à Vienne…), et autant de standing-ovations, nous changeons de latitude mais restons sur le même continent.

Là où la chaleur et l’obscurantisme écrasaient le petit Richard, jeune garçon noir confronté à une Amérique ségrégationniste, il s’agit ici de suivre un homme et un chien, qui s’enfoncent dans l’immensité blanche du Klondike, par -75°.

Construire un feu est une nouvelle puissante et métaphysique, synthétique et proche de l’abstraction. C’est un champ existentiel, une allégorie éloquente du combat que l’homme a engagé contre la nature, contre sa propre nature, son instinct.

« Enregistrer la musique de Bach… Peut-être la plus grande et belle aventure qui soit pour un interprète, plonger dans ses notes à la fois éternelles et intemporelles bouleverse au plus haut point. Je me souviens, préparant ce disque pendant des mois, perdre la notion du temps chaque matin alors que je m’enfonçais déboussolé dans ces partitions aux allures de cartes du monde.

Cette musique de Bach peut être savante, cérébrale, impressionnante, mais elle est aussi évidente et universelle. C’est la sagesse de l’enfance que j’ai voulu retrouver en enregistrant cet album sur ces terres de Dordogne où j’allais en vacances petit garçon ; retrouver cette joie, cette lumière, la douce sérénité. Là, dans une petite église merveilleuse au son enchanteur, j’ai enregistré les notes de Bach, jour et nuit, et je vous les livre ici, comme on transmet une carte qui mène à un trésor. » Thibault Cauvin